Halloween : 10 films d’horreur pour se faire peur
Envie de vous faire flipper ? Soirée cinéma sur le thème d’Halloween en vue ?
Voici une sélection de 10 classiques dans le genre pour se faire peur .
L’exorciste (1973)
Le pitch : Chris McNeill, actrice de télévision, s’inquiète d’entendre de plus en plus fréquemment des bruits bizarres dans la chambre de sa fillette, Regan. Celle-ci se plaint d’avoir des difficultés à dormir à cause des mouvements spasmodiques qui ébranlent son lit. D’abord incrédule, Chris vérifie bientôt les dires de sa fille. Celle-ci se transforme peu à peu en un véritable monstre.
Ce film culte sorti en 1973, est réputé comme l’un des films les plus maudits de l’Histoire du cinéma. En effet, on compte multiples incidents sur le tournage et 9 morts par la suite.
Les griffes de la nuit (1984)
Le pitch : Nancy, Kris, Quentin, Jesse et Dean habitent Elm Street, au coeur d’une banlieue résidentielle semblable à des milliers d’autres – paisible, proprette et sans histoire… Mais depuis quelques temps, ces cinq jeunes sont hantés chaque nuit par le même cauchemar oppressant : un homme à la voix caverneuse surgit des ténèbres. Vêtu d’un t-shirt rouge et vert lacéré, il dissimule sous un vieux chapeau son visage atrocement brûlé et défiguré.
Le film est basé sur un fait divers. Dans les années 1980, plusieurs dizaines d’hommes sont morts dans leur sommeil après avoir fait des cauchemars. Ils étaient pour la plupart des immigrés venus du Cambodge, présentant un défaut cardiaque. Le stress de leur arrivée récente aux États-Unis et les cauchemars déclenchaient un arrêt cardiaque. Le réalisateur, Wes Craven, a lu des articles traitant de ce problème et il a eu l’idée d’un tueur en série qui poursuit ses victimes pendant leur sommeil.
The Ring (2002)
Le pitch : Un jour, une cassette vous parvient. Sans étiquette ni marque distinctive. Semblable à des millions d’autres. Si la curiosité vous pousse à la visionner, vous serez rapidement subjugué par un enchaînement d’images troublantes, de visions cauchemardesques, un entrelacs d’obscurs et envoûtants symboles. Sitôt sorti de cette épreuve, votre téléphone sonnera et une voix surgie du néant vous informera que vous n’avez plus que sept jours à vivre.
Il s’agit d’un remake de Ring, un film japonais de Hideo Nakata, sorti en 1998. Deux suites ont vu le jour, Le Cercle 2 sorti en 2005 et Le Cercle : Rings sorti en 2017.
Psychose (1960)
Le pitch : Phoenix, Arizona. Marion Crane et Sam Loomis sont amants mais le manque d’argent compromet leur mariage. Sam doit verser une pension alimentaire à son ex-femme et éponger les dettes de son père. Marion supporte de plus en plus mal cet amour se limitant à des rencontres furtives. De retour au bureau, elle assiste à une transaction immobilière entre un riche client et son patron, qui la charge de déposer à la banque 40.000 dollars.
La scène de la douche est un moment clé du film, devenu culte. Ne durant que 45 secondes à l’écran, elle a demandé pas moins de sept jours de tournage et 70 prises.
Halloween (1978)
Le pitch : La nuit d’Halloween 1963. Le jeune Michael Myers se précipite dans la chambre de sa soeur aînée et la poignarde sauvagement. Après son geste, Michael se mure dans le silence et est interné dans un asile psychiatrique. Quinze ans plus tard, il s’échappe de l’hôpital et retourne sur les lieux de son crime. Il s’en prend alors aux adolescents de la ville.
La bande originale d’Halloween est l’une des plus célèbres du cinéma d’horreur. On la doit à John Carpenter lui-même, également musicien et habitué à écrire les musiques de ses films
Orange Mécanique (1971)
Le pitch : Réunis au Korova Milk-Bar, Alex et sa bande s’abreuvent de drogues avant de partir pour une virée ultraviolente. Après avoir battu à mort un clochard ivre, ils pénètrent dans une maison, violent la femme et blessent gravement le mari. Le lendemain, Alex est capturé par la police après avoir tué, sans le vouloir, une nouvelle victime.
Orange mécanique est le film le plus rapide que Stanley Kubrick, habitué aux longues productions, n’ai jamais fait. En effet, du premier jour de tournage à la sortie du film, il ne s’est déroulé qu’une année !
Ça il est revenu (1990)
Le pitch : A Derry, une petite ville des États-Unis, plusieurs enfants viennent de trouver une mort mystérieuse. Mike, le bibliothécaire, ne se berce pas d’illusions. Il est revenu. Il, c’est ce clown mystérieux et sanguinaire, tueur d’enfants, que Mike et ses copains avaient réussi à chasser, voici 30 ans. Mike se souvient. Tout avait commencé par le meurtre de Georgie. Georgie jouait tranquillement dans le caniveau avec un petit bateau quand les grandes chaussures du clown fou se sont approchées de lui
Ça est l’adaptation du célèbre roman fantastique du même nom écrit par Stephen King publié en 1986. L’ouvrage avait déjà été transposé à l’écran via le téléfilm à succès Ça – Il est revenu réalisé par Tommy Lee Wallace et diffusé en deux parties en 1990 aux Etats-Unis et en 1993 en France
Une adaptation plus récente est sortie au cinéma,mais à mon sens, on est loin de l’ambiance et l’univers de la version des années 90.
Shining (1980)
Le pitch : Jack Torrance, gardien d’un hôtel fermé l’hiver, sa femme et son fils Danny s’apprêtent à vivre de longs mois de solitude. Danny, qui possède un don de médium, le Shining, est effrayé à l’idée d’habiter ce lieu, théâtre marqué par de terribles évènements passés…
Avant de se tourner vers Jack Nicholson, Stanley Kubrick a envisagé de confier le rôle de Jack Torrance à Robert De Niro, Robin Williams ou encore Harrison Ford. Stephen King n’était pas convaincu par cette décision puisqu’il voyait Michael Moriarty ou Jon Voight convenir davantage pour le personnage.
Hereditary (2018)
Le pitch : Après la mort d’Ellen, la famille de sa fille commence à découvrir des secrets énigmatiques et terrifiants à propos de leur généalogie. Plus ils découvrent, plus ils se retrouvent à essayer de fuit le destin sinistre dont ils semblent avoir hérité.
L’idée de départ d’Hérédité provient d’une série de terribles épreuves subies par la famille du réalisateur pendant trois ans, au point qu’il s’est demandé s’ils n’étaient pas maudits. Ari Aster souhaitait se nourrir de cette expérience mais sans aborder frontalement la souffrance endurée par ses proches et lui-même
Midsommar (2019)
Le pitch : Un couple traverse la Suède pour rendre visite à un de leurs amis et assister à un festival local. Mais les retrouvailles se transforment vite en culte païen et sordide.
2e film d’Ari Aster après Hereditary, j’ai découvert ce film dernièrement. Et je dois dire qu’il m’a mis très mal à l’aise. Il ne fait pas peur, rien de gore mais il joue vraiment sur le psychologique , très dérangeant . Mais c’est à voir !